![]() Les extraits suivants sont issus du troisième voyage « À l’exploration des civilisations parallèles » de l’ouvrage « J’ai fait trois fois le tour de la terre » dont Laurence Baranski est l’auteur. Ce portrait fait suite à celui de Raymond Moody dont vous pouvez découvrir sur notre site. « Kenneth Ring est né en 1935. Il est américain et il est lui aussi pionnier aux portes de la mort. Il parle d’ailleurs plus volontiers de ‘‘la frontière de la vie’’. » Professeur émérite de psychologie à l’université du Connecticut, il s’intéresse aux expériences de mort imminente et les travaux réalisés quelques années plus tôt par Raymond Moody l’inspirent beaucoup. « À partir de 1977, Kenneth Ring a concentré dans un premier temps ses recherches auprès de personnes ayant été à l’agonie, c’est-à-dire des personnes ayant connu une Expérience de mort imminente (EMI), qu’elles aient vécu ou non une phase durant laquelle elles étaient cliniquement mortes. Son but était d’apprendre ce que ressentent les personnes confrontées à la mort. » Dans les années 80, il fonde et édite le ‘‘Journal of Near-Death Studies’’, et cofonde l’International Association for Near-Death Studies, l’IANDS, avec le souhait que ‘‘au delà des études réalisées, la communauté scientifique internationale s’empare de l’étude de ce phénomène observé’’. L’IANDS est aujourd’hui un réseau international très vivant d’associations juridiquement indépendantes mais dédiées à la même recherche. Kenneth Ring est également l’auteur de différents ouvrages sur les EMI tels que : « En route vers Oméga » ou « Lessons from the Light » co-écrit avec Evelyn Elsaesser-Valarino. Il est considéré aujourd’hui comme l’un des pionniers dans la recherche sur ce sujet et ses travaux sont décrits comme étant dans le prolongement de ceux de Raymond Moody. Ses conclusions autour des EMI sont d’ailleurs les mêmes que Raymond Moody : un état de plénitude, une sortie hors du corps, un tunnel, une lumière, etc. « Une sorte de voyage d’où l’on peut revenir totalement transformé, avec un regard souvent radicalement nouveau sur la vie et sur son sens, parfois aussi avec des connaissances nouvelles et pourtant jamais apprises de son vivant. » Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement. --------------------
J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com
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![]() Les extraits suivants sont issus du troisième voyage « À l’exploration des civilisations parallèles » de l’ouvrage « J’ai fait trois fois le tour de la terre » dont Laurence Baranski est l’auteur. Ce portrait fait suite à celui d’Elisabeth Kubler-Ross dont vous pouvez découvrir le portrait ici. « Elisabeth Kubler-Ross se concentra sa vie durant sur le moment de passage vers la mort et sur l’accompagnement des vivants, plus que sur les signes d’une vie après la mort. La question de la possibilité d’une vie après la mort terrestre n’était pas son sujet premier. En revanche, bravant l’hostilité et les critiques du corps médical, elle préfacera le livre de Raymond Moody qui, lui, concentrait ses recherches sur les NDF, les Near Death Experience, c’est-à-dire les expériences proches de la mort. » Raymond Moody, docteur en philosophie et médecin psychiatre, né le 30 juin 1944 aux États-Unis, a fortement interpellé ses contemporains occidentaux sur ce mystère qu’est la mort. Une question l'a ainsi préoccupé durant toute son existence : y a-t-il une vie dans l'au-delà ? « Dans les années 1970, alors qu’il était enseignant en philosophie, ses étudiants lui demandèrent si les philosophes antiques, comme Socrate et Platon, croyaient en une vie après la mort. En complément de cette question, ils lui racontèrent des histoires de visions, de voix semblant venues de l’au-delà, de lumière faite d’amour, de rencontres avec d’autres êtres… Ces visions et ces perceptions étaient survenues dans des états de mort clinique. » D’un naturel curieux, Raymond Moody eut envie d’en savoir plus et commença à regrouper tout les écrits et récits sur sur le thème des visions en état de mort clinique. Suite à de nombreuses recherches, il lui fut impossible de tirer des conclusions sur ce sujet. Il s’interroge cependant la question suivante : « Qu’est-ce que la conscience ? ». C’est ainsi qu’il décide de se former à la psychiatrie, plus adaptée que la philosophie selon lui, pour répondre à la question qu’il se posait. Raymond Moody recueille des témoignages et participe à des expériences sous hypnose pour découvrir la possibilité de vies antérieures et de réincarnation avant de s'intéresser au dialogue entre les vivants et les morts. Il créé également un centre de recherche : le Théâtre de l’Esprit, où il accueille des candidats se questionnant sur les mêmes sujets que lui. Par la suite, il nommera le phénomène des visions en état de mort clinique : les « Near Death Experience ». « Raymond Moody mettra en évidence que les NDE se caractérisent par une série d’étapes dont les intensités peuvent varier, mais qui se retrouvent néanmoins de manière récurrente : la personne mourante éprouve un amour inconditionnel ; elle s’entend déclarée ‘’morte’’ alors qu’elle-même se sent pleinement en vie ; une sensation de paix et de calme l’envahit ; elle se sent sortir de son corps, sa vue s’élargit et tous ses sens sont activés comme jamais ils ne l’ont été de son vivant ; elle se sent aspirée dans un tunnel où se trouvent d’autres êtres, souvent des parents ou des amis décédés ; au bout du tunnel, la personne déclarée cliniquement morte aperçoit une lumière claire, ineffable, plus puissante que ce que l’esprit humain peut concevoir, une lumière que l’on peut regarder sans que sa vue n’en soit abimée ; la vie de la personne cliniquement morte défile alors devant ses yeux, sans aucun jugement ; puis ‘’quelque chose’’ (une voix, une impression…) qui vient de la personne elle-même ou de l’extérieur, lui fait comprendre qu’il n’est pas l’heure pour elle de quitter la Terre ; la personne réintègre alors son corps physique […]. À ce moment là, la personne renaît, « redevient » cliniquement vivante. » C’est à travers son ouvrage « La vie d’après », en 1975 que Raymond Moody fera partager ses observations. Créant une onde de choc à l’époque, il affirme qu’il ne veut rien prouver à travers ce livre, mais seulement « présenter des observations qui se produisent partout dans le monde et inviter les savants du monde entier à s’emparer de ce sujet et de ces phénomènes ». Il a publié par la suite d’autres ouvrages sur les expériences de mort imminente tels que : « Lumières nouvelles sur la vie après la vie » en 1977 et « La Lumière de l’au-delà » en 1988. Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement. --------------------
J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Le crop circle de Crésancy-en-Sancerre, cette majestueuse forme géométrique apparue dans un champ d’orge dans la nuit de vendredi 2 à samedi 3 juin 2017, est abrité au fond d’une légère dépression du paysage qui le rend visible de la route longeant le haut du coteau. En ayant appris l’existence, j’y suis allée avec une amie, Muriel : un crop circle aussi près de notre région, c’est trop beau et trop rare, cela ne se loupe pas !
La figure est formée d’un grand cercle central, dans lequel les épis sont couchés de façon concentrique, entouré de quatre autres cercles plus petits du même type et reliés entre eux par des sortes d'allées, circulaires elles aussi, que l’on peut emprunter pour passer de l’un à l’autre. Au moment où nous y étions, un cousin du propriétaire du champ était en train de mesurer le cercle central afin de déterminer les pertes de récolte. Je ne connais pas les dimensions totales de cet « agroglyphe », mais ce cercle faisait à lui seul environ soixante mètres de diamètre, ce qui donne une idée de la taille de l’œuvre. Nous avons pu constater à quel point ce phénomène était énigmatique. Les épis d’orge couchés au sol n’étaient ni abîmés ni écrasés comme cela aurait été le cas si l’on avait voulu les aplatir avec un rouleau compresseur. Ils étaient curieusement entremêlés, comme tressés. Il n’y avait aucune trace de piquet central autour duquel on aurait pu faire tourner un engin quelconque pour dessiner les cercles et toutes les formes et proportions étaient absolument parfaites. L’accès au crop circle se faisait à pied par les longues et étroites empreintes parallèles laissées par le tracteur de l’agriculteur et il n’y avait pas non plus de traces d’engin que l’on aurait fait entrer dans ce champ aux épis d’orge déjà bien hauts. Or les dimensions et la perfection de la forme dessinée dans les épis ne permettent pas de penser que des farceurs ou artistes aient pu réaliser cela en une seule nuit sans être vus de quiconque. Etre confrontés au mystère… Par une belle après-midi de juin, visiter le crop circle était une promenade toute trouvée pour nombre de curieux. Je regrettais de ne pas pouvoir bénéficier de plus de calme pour mieux me connecter à l’énergie du lieu, mais c’était un régal que d’y observer ces promeneurs et me saisir des bribes de leurs conversations ! Je me disais que si j’étais extra-terrestre et que j’avais créé cette forme dans un champ d’orge pour faire évoluer la conscience de l’humanité, je serais satisfaite du résultat… Quel ravissement de voir et entendre tous ces humains s’interroger, faire des hypothèses parfois loufoques (j’ai entendu parler de ventilateur pour coucher les épis!), ou tester le lieu avec un pendule, ou méditer… Toute une gamme de réponses à la stimulation « crop circle » ! Déjà, le pari était gagné : les habitudes mentales étaient ébranlées pour certains, tandis que d’autres montaient en fréquence, tout à la joie d’être confrontés à ce phénomène extraordinaire, signe d’une réalité qui nous dépasse. Vus de loin, les visiteurs qui se succédaient à raison d’une trentaine en permanence sur le site, évoluaient d’un cercle à l’autre, paisibles et étonnés, se rassemblaient, puis se dispersaient, circulant lentement. Certains s’allongeaient contre l’épais tapis d’orge, d’autres prenaient des mesures et d’autres encore faisaient des acrobaties… Beaucoup de légèreté…! Il m’est apparu clairement que tous prenaient un bain de joie et de présence ! Certainement, tous n’en avait pas conscience, mais ils avaient l’air de baigner à leur insu dans une énergie très légère et bienfaisante et l’aura de cet événement non préparé, surgi de nulle part, continue de s’étendre un peu partout sur la planète, relayée par la magie des réseaux sociaux et d’internet. Pour ce qui est de Muriel et moi, nous avons parcouru la forme, attentives à nos sensations, marchant toujours dans le « sens du courant », c’est-à-dire le sens dans lequel les épis étaient couchés. Nous nous sommes en effet vite rendues compte qu’aller à rebrousse-poil était inconfortable ! C’est ainsi que nous avons constaté l’étonnante légèreté du grand cercle central. Se tenir en son centre donnait l’impression que tous les cellules de notre corps étaient régénérées, boostées avec douceur et que notre être entier s’apaisait. Les quatre cercles plus petits entourant le grand cercle n’avaient pas la même vibration. Leur énergie était plus dense, plus « pratique ». Comme s’ils « venaient en support au grand cercle central », comme le dit Muriel. Comme s’ils étaient les turbines qui l’alimentaient. Bien sûr, ces perceptions et leur interprétation sont toutes personnelles. Mais on dira ce qu’on voudra, le phénomène crop circle reste impossible à rationnaliser. Un crop circle pousse tous ceux qui s’en approchent vers d’autres dimensions, d’autres perceptions, une autre connaissance. Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. -------------------- J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Il y a un an, nous venions tout juste d’envoyer le fichier du livre « J’ai fait trois fois le tour de la Terre » à l’imprimeur…! Enfin le livre allait prendre sa forme définitive et vivre sa vie de livre ! Depuis, nous avons partagé et communiqué avec notre public lors de conférences. Nous avons également reçu des messages de lecteurs. Ces échanges sont à chaque fois émouvants et emprunts de reconnaissance. Il semble que le livre réponde à un besoin profond et souvent vécu en secret. En substance, ce qui ressort de nos échanges, c’est qu’un grand nombre d’entre nous se sent isolé dans son itinéraire spirituel. C’est si bon, alors, de trouver un écho à ses convictions, ses questions, ses intuitions, de se découvrir une famille, une famille spirituelle sur la Terre ! Ce besoin-là est immense… Il est grand temps que nous nous autorisions à être spirituels au sein du monde et de la société. C’est comme du miel ! Comme un soleil qui donne du sens et de la chaleur à notre quotidien. Lorsque la spiritualité n’est plus un à côté, vécu en cachette de peur de paraître « illuminé » et jugé, ou comme une béquille qui nous aide à vivre, elle devient le noyau dur et le repère de notre connexion aux autres et à la vie. C’est un grand souffle qui nous traverse et nous régénère, comme si notre poitrine pouvait respirer plus largement, notre regard se porter plus loin, notre cœur battre plus fort. Dire, ressentir, se faire confiance, espérer et rayonner : tout cela devient possible. C’est pourquoi nous avons décidé d’orienter nos prochains billets publiés sur cette page facebook et sur le site www.troisfoisletourdelaterre vers des témoignages vécus, par nous-mêmes et par celles et ceux qui nous les aurons confiés, avec l’autorisation de nous en faire l’écho. N’hésitez pas, vous aussi, à partager... Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. -------------------- J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. Initié il y a 5 ans au cœur de la Bretagne par Edith Vianet, le Salon des énergies subtiles et du bien- être se tient chaque année, le week-end de Pâques, au Domaine de Tronjoly à GOURIN. Pour en savoir plus : https://www.aivent18.fr Nombre de visiteurs en 2016 : près de 4000 Nombre d’exposants en 2017 : 73 Une adresse à retenir pour Pâques 2018 ! Incroyable week-end de Pâques que nous avons vécu avec Laurence… Elle était invitée à donner la conférence d’ouverture de ce salon des Energies subtiles et du bien être qui se tient à Gourin, au cœur de la Bretagne, depuis maintenant cinq années. Nous y sommes allées toutes les deux… et avons vécu un très joli moment de connexion haute fréquence ! Je ne parle pas de wifi, G4 ou autre réseau de ce type, non, non! C’est bien d’énergies subtiles qu’il s’agit. Celles qui créent, quand on s’y connecte, intuition, bienveillance, douceur et partage. J’en suis revenue rechargée, comme pétillante à l’intérieur de mille étincelles dorées. Ce salon qui développe chaque année un peu plus sa notoriété, a l’avantage d’être à taille humaine et de grande tenue. Les rencontres y sont spontanées et authentiques, et les professionnels de qualité, passionnés et sincères. Le parler vrai, la place de la connexion spirituelle dans les échanges, les remèdes quantiques ou alchimiques, les soins énergétiques, tout cela y est normal et naturel. J’ai eu le sentiment d’y retrouver ma tribu ! Au pays des druides, nous parlions le langage de la chamane, du féminin sacré éveillé en chacun, et lorsque nous abordions les dimensions subtiles c’était avec simplicité, comme si les réalités dites parallèles étaient devenues normales. Tous les thèmes traités par Laurence dans son livre « J’ai fait trois fois le tour de la Terre », ainsi que dans celui qui sortira à l’automne, « Le Coming out spirituel » étaient des évidences, des données acquises. Chacun bien sûr avait sa compréhension propre, son axe de recherche, son chemin. Mais, pour tous, il était naturel de concevoir l’existence de plans de réalité bien au-delà des limites admises par notre culture cartésienne occidentale. Le créateur de mandala explique qu’il sort de son corps et revient chaque fois avec une inspiration pour ses puissantes créations. Une médium lit le message des anges dans des cartes si anciennes qu’elles en sont toutes effacées. Une énergéticienne de passage s’arrête pour faire un soin au coin d’une allée à chaque personne qu’elle sent en souffrance. Le stand des pierres ne désemplit pas de clients en quête de minéraux guérisseurs, de même que le stand des élixirs alchimiques aux vertus époustouflantes où l’on peut tester l’effet des petites fioles miraculeuses. Pas de commerciaux mercantiles et poussifs, mais des créateurs inspirés et passionnés, des scientifiques et chercheurs nouvelle génération, des thérapeutes connectés aux mondes subtils, généreux et attentifs. Et puis il y a eu Esther, dont le cas est l’illustration du changement en cours dans notre monde. Cette jeune femme présente à la conférence de Laurence y a témoigné de phénomènes paranormaux perturbants et même effrayants auxquels elle était soumise depuis toute petite. Elle se sentait anormale et seule, craignant de passer pour folle. Nous l’avons rassurée, lui disant que tout cela se travaillait, qu’elle ne devait pas avoir peur et qu’elle trouverait sûrement sur le salon un thérapeute susceptible de l’accompagner. Elle était sceptique, recroquevillée comme un petit animal apeuré et englué dans sa souffrance depuis de nombreuses années. Lorsque nous l’avons revue vingt-quatre heures plus tard, elle rayonnait. Elle avait parlé avec différents exposants, spécialistes dans leurs disciplines respectives, et elle avait été comprise par toutes ces personnes… Elle n’était pas folle et elle commençait d’entrevoir une issue à ces phénomènes désagréables qui la parasitaient. C’est cela, le salon des énergies subtiles de Gourin : le surnaturel devenu naturel. Cette réalité « élargie » dont nous parlons souvent Laurence et moi y est devenue réalité tout court. Et au cœur de cette réalité, de l’amour, beaucoup d’amour. Notre futur, à portée de main… -------------------- J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement. « Nous sommes aux portes de la mort. Et s’il ne devait ici n’y en avoir qu’une seule, ce serait elle. Elle est passionnante, attentive, réalise, humaine, touchante, vivante […]. Elle est pionnière dans l’exploration de la connaissance de nous-mêmes et de la vie. Elle, c’est Elisabeth Kübler-Ross. Elle a franchi elle-même la porte de la mort en 2004, à l’âge de 78 ans. » Elisabeth Kübler-Ross est unanimement reconnue comme une femme des plus influentes du 20ème siècle. Difficile de rester indifférent(e) face à cette femme si spéciale… Laurence Baranski, dans le 1er voyage de son livre, nous parle de cette étonnante femme. ![]() Elisabeth est l’aînée de triplées nées le 8 juillet 1926 à Zurich. Son intérêt pour les questions inhérentes à la mort débute dès son plus jeune âge lorsqu’elle rend visite à l’un de ses voisins, gravement blessé après qu’il ait chuté d’un arbre. Elle est alors la seule à adopter une attitude naturelle face à ce monsieur, de sorte à ce qu’il lui confie ses peurs. À la fin des années 30, Elisabeth souhaite devenir médecin et travaille dans la clinique du docteur Karl Zehnder. C’est l’époque où les premiers réfugiés juifs arrivent en Suisse, et son rôle est de prendre en charge les besoins de nourriture et de vêtements. En 1945, avec les Volontaires pour la paix, elle se rend en France puis en Pologne en 1947, au milieu d'une épidémie de typhoïde. Au camp de concentration nazi de Majdanek, elle découvre les papillons noirs dessinés sur les murs par les enfants juifs avant de mourir. Symbole de transformation, elle devient persuadée que ces enfants, avant de disparaître dans les chambres à gaz, pensaient qu’ils survivraient à cette horreur en accédant à un monde meilleur. Le papillon deviendra alors son emblème. Plus tard, elle fera souvent le parallèle entre les mourants et la chrysalide dont sort libéré le papillon. C’est après cette visite qu’elle décide de travailler avec les mourants. Elle obtint son bac en 1951, puis, reçue à l'Université de Zurich elle fût diplômée en 1957, et se maria ensuite avec Emanuel Ross, un jeune interne américain. Elle parti vivre aux États-Unis avec lui. En 1963 elle obtint son titre de psychiatre à l'université du Colorado. « Médecin psychiatre, c’est sa carrière qui l’a confrontée de près à la mort. Dès ses débuts, elle s’étonne que le corps médical puisse considérer la mort comme un échec et préfère l’ignorer plutôt que d’essayer de la comprendre. » Un jour, son chef de service ayant un imprévu, lui demande alors d’animer une conférence auprès des étudiants en médecine. Elle est libre de choisir le sujet et décide de parler de la mort, dans l’espérance que ces étudiants développent plus tard une attitude différente de celle de leurs ainés. Elle décide de faire intervenir une adolescente en phase terminale qu’elle avait rencontrée peu de temps auparavant, celle-ci va relater elle-même, au cours de la conférence, son vécu de la maladie et son attente de la mort. Cet évènement improvisé fait le tour de la ville et s’étend au-delà. Bientôt, Elisabeth est désignée comme la spécialiste des malades en phase terminale. « Elisabeth s’engagea très tôt sur des chemins alternatifs à ceux récemment ouverts par des psychologues ou psychanalystes reconnus […] Qu’est-ce que les chemins ouverts par Elisabeth avaient d’alternatifs ? Une chose toute simple, mais que l’on avait semble-t-il oubliée, elle en fit le constat : le coeur. Et dans le coeur, l’amour. C’est en prenant appui sur lui qu’Elisabeth a développé son approche auprès des mourants… » Selon Elisabeth, après un diagnostic de maladie terminale, on observe « cinq phases du deuil » : le déni ; la colère ; le marchandage ; la dépression et l’acceptation. Ces étapes ne sont pas nécessairement dans l'ordre indiqué et ne sont pas non plus vécues par tous les patients, mais chaque victime en vivra toujours au moins deux. « Elisabeth développa tout au long de sa vie des modes d’accompagnement visant à permettre aux patients d’atteindre la cinquième phase, la phase ultime de vie, celle qui nous conduit à quitter les rives terrestres, le plus sereinement possible […] La mort apparaît comme un passage et une initiation, tant pour le mourant que pour les accompagnants. Un rite de passage aujourd’hui quasi inexistant dans nos sociétés modernes où la mort est vite ‘expédiée’. » Dans les années 80, Elisabeth s’installe en Californie, afin d’y établir un centre de soin appelé Shanti Nilaya (qui signifie « havre de paix final »), où elle organise des séminaires, dont le but est, selon elle, de « traverser la couche du déni professionnel qui empêche les patients d'exprimer leurs inquiétudes les plus intimes. » Elle se consacre ensuite aux enfants qui vont mourir et aux victimes du SIDA. « Les patients d’Elisabeth lui parleront de leurs expériences de télépathie, de visions, de clairvoyance, de sensations de sortie hors du corps. Autant d’indices pouvant laisser supposer qu’il se produit quelque chose au moment de la mort physique et peut-être après la mort du corps physique […] Une de ces expériences influença profondément sa vie, ses recherches et son accompagnement : une nuit, se sentant propulsée hors d’elle-même, elle retrouva toutes les personnes mortes qu’elle avait accompagnées. Elle ressentit leur souffrance, puis elle traversa leurs sensations pour contacter la lumière et la compassion. Ce fut une expérience incroyablement puissante et ineffable selon elle. » Elle prendra par la suite sa retraite en 1996 et, après plusieurs accidents vasculaires cérébraux qui vont l’handicaper, décédera à 78 ans le 24 août 2004, à Scottsdale, en Arizona, en compagnie de son fils Kenneth et de sa fille Barbara. --------------------
J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement. Laurence Baranski, dans le 1er voyage de son livre, nous parle de la stupéfiante femme que fut Alexandra David-Néel. Découvrez-en plus à travers ce portrait : ![]() Louise Eugénie Alexandrine Marie David, plus connue sous le nom d'Alexandra David-Néel est née le 24 octobre 1868 à Saint-Mandé. C’est une orientaliste, tibétologue, chanteuse d'opéra, journaliste, écrivaine et exploratrice, franc-maçonne et bouddhiste de nationalités française et belge. Une passionnée de voyage qui voulait partir à la découverte du monde : L’envie de découvrir le monde fut, dès son plus jeune âge, sans cesse présente dans son esprit, et Alexandra pratiqua l'art de la fugue jusqu'à sa majorité. Dès son adolescence, elle s’intéresse et étudie les philosophies orientales et se familiarise avec l’anglais. Dès sa majorité, elle milite pour la condition féminine et publie à cette époque des écrits virulents. Elle entreprend également en parallèle des études, en auditeur libre et gagne dans un premier temps sa vie dans une carrière artistique qui dura près de 8 ans. Malgré cela, Alexandra ne perd pas de vue son objectif principal qui est de voyager. Elle stoppe ainsi sa carrière artistique et part à Tunis en 1900. C’est là qu’elle rencontre Philippe Néel, ingénieur des chemins de fer installé en France avec qui elle se mariera en 1904 à l’âge de 36 ans. Elle se rendit alors très vite compte qu’elle n’était pas faite pour tenir le rôle de femme au foyer et cette union la conduira au bord de la dépression au bout de quelques temps seulement après son mariage. Son mari, conscient de la passion de sa femme pour le voyage, accepte alors de la laisser partir pour un voyage d’études de 18 mois en Asie. Alexandra ne reviendra en réalité que 14 ans plus tard en 1925… « Toute petite déjà, elle ne tenant pas en place, dit-on. Elle voulait découvrir le monde. Elle voulait apprendre. La vie, son sens, les humains. C’est en partant à l’exploration des cultures indiennes et tibétaines qu’elle trouva une voie propre à satisfaire deux des passions qui l’animaient : la connaissance intellectuelle et la connaissance sensible. » ![]() Elle voyage alors au Népal, au Sikkim, un petit pays himalayen au sud du Tibet où elle rencontre Sidkéong Tulku, souverain de ce petit état. Il met a sa disposition un jeune moine de 14 ans, Aphur Yongden, qui deviendra par la suite son fils adoptif. Accompagnée de celui-ci, elle part à la découverte du Japon, de la Corée ainsi que de la Chine, et de la Mongolie. Après une audience avec le 13e Dalaï-lama qui lui conseilla d’apprendre le tibétain, elle se rendra à plusieurs reprises au Tibet, même si cela n’était pas gagné d’avance. « Déguisée en mendiante, elle parvint à gagner le Tibet et entra dans Lhassa, une capitale où les conditions de vie étaient alors très difficiles. ». C’était en 1924, et ce fût alors la première femme d'origine européenne à séjourner dans cette capitale. Cet exploit fit écho dans les journaux et contribua fortement à la renommée d’Alexandra, en plus de ses qualités personnelles et de son érudition. Amoureuse de ce pays, elle y séjournera au total une douzaine d’années. À son retour en France, elle s’installe avec son fils adoptif à Digne dans les Alpes de Haute Provence. À 69ans, après 9 années de travail, Alexandra, qui n'a jamais cessé d'écrire ou de faire des conférences en Europe, repart pour la Chine au début 1937 avec son fils adoptif. Elle rentre en France en 1946, et passera ensuite le reste de ses jours à publier de nombreux ouvrages. Elle décède en 1973 alors qu’elle avait 105 ans. Cette exploratrice, qui avait noué des liens avec le14e dalaï-lama au cours de ses voyages, reçut sa visite à deux reprises en France dans sa maison. «Deux visites en hommage à celle qui avait le mieux fait connaître le Tibet aux Occidentaux. » Pour en savoir plus sur cette surprenante femme, nous vous donnons rendez-vous ici. --------------------
J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Cet article est proposé par Laurence Baranski, auteure de J'ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, et Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience.
La presse spécialisée accueille avec intérêt le livre « J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveillez les feux sacrés de la connaissance ». Nous avons ainsi pu découvrir des critiques suggérant de « lire absolument » le livre, ou encore le qualifiant de « passionnant ». En tant qu’éditrice et auteure, Nathalie et moi-même en sommes bien évidemment ravies. D’autres articles sont prévus pour 2017, nous dit-on... Grâce à l’aide de Karine Sylvestre pour les relations presse, et à celle de Fanny Noyelle qui nous accompagne dans le domaine de la communication sur les réseaux sociaux, le livre connaît un rayonnement grandissant. Toutes deux le savent, nous leur en sommes très reconnaissantes. Mais plus encore, et bien évidemment, ce sont vos retours, chères lectrices et chers lecteurs, qui nous touchent. Nous sommes très sincèrement touchées lorsque vous nous dites, ou nous écrivez, que « J’ai fait trois fois le tour de la Terre » est un livre « pour ceux qui cherchent le chemin de la vérité », « un feu d’artifice de connaissances, réjouissant », « une source de clarification et de réconfort » ; ou encore un livre « qui donne de l’espoir en l’avenir et en l’homme » et qui rappelle que « la vie est un champ d’expériences dont nous n’avons pas fini de découvrir la richesse ». Vos retours nous remplissent d’optimisme, et nous invitent à poursuivre avec énergie la diffusion du livre et des idées éclectiques - certes également iconoclastes - dont il se fait l’écho. Nous sommes de plus en plus nombreux à sentir et percevoir que les frontières du réel vont bien au-delà de ce que l’on a cru longtemps. Car nous avons, ces derniers siècles, bien trop privilégié la raison et la matérialité, au détriment du cœur et de nos perceptions sensibles. Mais il se passe quelque chose en ce moment à l’échelle de l’humanité, comme un début de rééquilibrage : l’expression du désir de davantage « d’être » au côté de « l’avoir », davantage d’amour et de lumière. C’est heureux. C’est joyeux. Et c’est avec cette énergie aux mille paillettes que nous vous souhaitons, Nathalie et moi-même, de très belles fêtes ! Très chaleureusement Laurence Baranski & Nathalie Krompholtz -------------------- J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. Il y a vingt ans de cela, lors d’un dîner où la conversation était résolument politique, quelqu’un m’avait posé la question : « Et toi, Nathalie, qu’en penses-tu, qu’est-ce qui sauvera le monde ? » J’avais courageusement répondu : « L’amour ». Mon interlocuteur avait alors explosé de rire en me disant que j’étais « à la masse » avec mes idées de «soixante-huitarde attardée»… La blessure a été profonde. A l’époque, j’avais du mal à m’affirmer. Cependant, cette conviction timidement exprimée à ce moment-là de ma vie n’a fait que s’amplifier, avec un mot d’ordre intérieur impérieux : « Non, ne te laisse pas piétiner, résiste, continue vers la lumière ! » C’est ce que j’ai fait. Mon interlocuteur, lui, est en train de changer d’avis ! -------------------- J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience.
Il m’a été donné, la semaine dernière, d’avoir deux exemples dans la même journée de ce que l’humanité peut donner lorsqu’elle s’éveille. Michel est l’un de mes patients. Au cours des séances, il a retrouvé le « chemin de la maison » : cette dimension astrale où tout est paix, unité, lumière. Lorsqu’il est venu me voir ce jour-là, il m’a parlé de son métier. Il est garagiste, mais un garagiste hors du commun. Lorsqu’il répare les voitures, il prend soin d’apaiser leurs propriétaires. Raphaël, lui, est maraîcher en biodynamie. Tous les samedis nous lui prenons des légumes au marché. Il y a une semaine, mon mari a eu un souci de santé qui aurait pu être grave. L’ayant appris et ne nous voyant pas au marché, Raphaël a fait une demi-heure de route pour nous amener un énorme cageot de légumes fraichement cueillis. Raphaël a fait bien plus que nous dépanner en nous amenant des légumes. Voilà deux hommes de cœur. Il y en a toujours eu, certes et tant mieux. Cependant, ces hommes-là représentent les hommes de demain. Ils sont précurseurs d’une culture de l’amour et du désintéressement. Tous deux ont une conscience spirituelle affranchie des dogmes. Tous deux ont la conscience de l’autre. Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement.
Laurence Baranski dans le 1er voyage de son livre, nous parle de cet étonnant pays : « Avec 650 000 habitants, c’est le pays d’Asie de l’Est dont le Produit national brut (le PNB) est le plus élevé, mais c’est le Bonheur national brut (le BNB) qui intéresse ses gouvernants. Le Bonheur national brut est un indice original qui mesure la bonne santé du pays en se basant sur quatre dimensions, considérées au Bhoutan comme les piliers du développement écologique et humain durable. » Ces 4 piliers sont les suivants :
Aujourd’hui, et depuis toujours, le Bhoutan est le seul pays qui poursuive un concept unique et profond de Bonheur National Brut. Cet article est proposé par Laurence Baranski auteure de J’ai fait trois fois le tour de la terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, publié par Lahnat éditions. Pour l’auteure, conseil sur le thème de la transformation, il est l’heure pour notre civilisation de revisiter notre vision des origines de l’humanité, des mystères de la vie et de la conscience, et nos certitudes associées.
Si l’existence d’extraterrestres intelligents est un jour avérée, l’humanité se trouvera confrontée à un tsunami intellectuel et existentiel incroyable. Après être passés de la « Terre plate » à la « Terre ronde », du « centre de l’Univers » à « la périphérie d’une petite galaxie d’un univers qui n’a pas d’adresse », les humains devraient se rendre à l’évidence : Homo Sapiens n’est pas la seule espèce consciente et intelligente à évoluer dans l’univers. Mais peut-on y croire ? Cet article est proposé par Laurence Baranski auteure de J’ai fait trois fois le tour de la terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, publié par Lahnat éditions. Pour l’auteure, conseil sur le thème de la transformation, il est l’heure pour notre civilisation de revisiter notre vision des origines de l’humanité, des mystères de la vie et de la conscience, et nos certitudes associées.
Il y a quelques centaines d’années, les humains ont dû se rendre à l’évidence et modifier leur vision du monde de l’époque. Cela devenait officiel : la terre n’est pas le centre de l’univers. Un nouveau et grand bouleversement s’amorce Nous entrons actuellement, à nouveau, dans une incroyable période de bouleversement de nos repères et croyances. Nous sommes en train d’accepter l’idée que la vie et la conscience se développent dans d’autres espaces que notre univers de matière ; qu’il est possible, dans ces espaces, de voyager plus vite que la vitesse de la lumière ; et que le passé s’y mélange au futur. L’humanité est ainsi à l’aube d’une formidable métamorphose intellectuelle et spirituelle. Au moins trois phénomènes inédits viennent à l'appui de cette affirmation. Cet article est proposé par Laurence Baranski qui publie J’ai fait trois fois le tour de la terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, chez Lahnat éditions. Pour l’auteure, conseil sur le thème de la transformation, il est l’heure pour notre civilisation de revisiter notre vision des origines de l’humanité, des mystères de la vie et de la conscience, et nos certitudes associées.
Faire l’expérience du champ akashique. Telle était la proposition du Club de Budapest à l’occasion de la journée de rentrée en septembre 2016 à Paris, au Forum 104. J’ai eu le plaisir de présenter en ouverture de cette rencontre le film « J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance » qui accompagne le livre du même titre, et qui en propose un rapide aperçu de 13 mn. Mais qu'est-ce qu'un champ akashique ? Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. Notre réalité est en train de changer. Pour de vrai ! Elle est en train de grandir, de s’élargir. C’est vraiment incroyable, ce qui se passe en ce moment.
Pourquoi la réalité change-t-elle ? Parce que de plus en plus de personnes se mettent à penser autrement. A réfléchir autrement, à ressentir et percevoir autrement. Et pourquoi ces personnes-là pensent-elles et perçoivent-elles autrement ? Cet article est proposé par Laurence Baranski qui publie J’ai fait trois fois le tour de la terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, chez Lahnat éditions. Pour l’auteure, conseil sur le thème de la transformation, il est urgent de faire évoluer notre vision de la vie et de ce que nous appelons la réalité. C’est un engagement personnel, tout autant qu’un enjeu collectif et politique. Il passe par le chemin de la connaissance de soi... « Se questionner sur soi, en écartant toutes les réponses préfabriquées, c’est déjà un fantastique moyen d’auto-éducation, mais c’est aussi un bouleversement des repères et un ébranlement généralisé dans les structures de la conscience et du monde. Il n’y a peut-être pas d’acte plus révolutionnaire. » Jean Tellez, Philosophe Les raisons pour lesquelles nous nous engageons sur le chemin de la connaissance de soi sont multiples et toujours personnelles. Ces raisons sont également sacrées, car elles touchent à l’essence même de notre vie. Elles sont toutes et toujours inconditionnellement respectables.
Cet article est proposé par Laurence Baranski qui publie J’ai fait trois fois le tour de la terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, chez Lahnat éditions. Pour l’auteure, conseil sur le thème de la transformation, il est l’heure pour notre civilisation moderne de revisiter notre vision des origines de l’humanité et nos certitudes associées...
Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où voulons-nous aller ? Nous sommes entrés dans l’ère des passerelles Des réponses à ces questions se trouvent aujourd’hui aux frontières de la science. Ici, à l’extrême périphérie de la connaissance officielle et académique, des scientifiques et des chercheurs ont l’audace de poser des questions iconoclastes. Ils s’interrogent sur ce qu’est le temps, sur l’univers qui pourrait être multiple, sur la mort et sur une partie de nous-même qui peut-être survit, sur la lumière qui guérit, sur les corps d’énergie, sur le pouvoir de l’esprit... Cet article est proposé par Laurence Baranski qui publie J’ai fait trois fois le tour de la terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance, chez Lahnat éditions. Pour l’auteure, conseil sur le thème de la transformation, beaucoup de choses nous semblent incroyables uniquement parce que nous avons été formatés pour penser qu’elles sont incroyables, et nous leur tournons le dos sans vérifier davantage leur véracité et leur pertinence. Heureusement, certains continuent d’avancer sur ces nouveaux territoires encore inexplorés...
Internet est une mine d’informations incroyable ! Particulièrement sur les sujets auxquels j’ai consacré mes recherches ces dernières années : les civilisations disparues qui nous auraient précédés, la possibilité de connaissances spirituelles et scientifiques avancées dans le passé puis oubliées, l’existence d’extraterrestres de multiples origines évoluant sur différents plans de réalité, la possibilité d’une vie après la mort, le pouvoir de la lumière qui guérit... Autant de sujets détonants, surprenants, et incroyables. |
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![]() Nathalie Krompholtz est co-fondatrice de Lahnat éditions et thérapeute-relaxologue.
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