J'ai fait trois fois le tour de la Terre
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Le Salon des énergies subtiles et du bien-être à Gourin : un salon « Haute Fréquence »!

21/4/2017

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Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. 
Initié il y a 5 ans au cœur de la Bretagne par Edith Vianet, le Salon des énergies subtiles et du bien- être se tient chaque année, le week-end de Pâques, au Domaine de Tronjoly à GOURIN.
Pour en savoir plus : https://www.aivent18.fr
Nombre de visiteurs en 2016 : près de 4000
Nombre d’exposants en 2017 : 73
Une adresse à retenir pour Pâques 2018 !


Incroyable week-end de Pâques que nous avons vécu avec Laurence…
Elle était invitée à donner la conférence d’ouverture de ce salon des Energies subtiles et du bien être qui se tient à Gourin, au cœur de la Bretagne, depuis maintenant cinq années.
Nous y sommes allées toutes les deux… et avons vécu un très joli moment de connexion haute fréquence !
Je ne parle pas de wifi, G4 ou autre réseau de ce type, non, non! C’est bien d’énergies subtiles qu’il s’agit. Celles qui créent, quand on s’y connecte, intuition, bienveillance, douceur et partage.
J’en suis revenue rechargée, comme pétillante à l’intérieur de mille étincelles dorées.
Ce salon qui développe chaque année un peu plus sa notoriété, a l’avantage d’être à taille humaine et de grande tenue. Les rencontres y sont spontanées et authentiques, et les professionnels de qualité, passionnés et sincères. Le parler vrai, la place de la connexion spirituelle dans les échanges, les remèdes quantiques ou alchimiques, les soins énergétiques, tout cela y est normal et naturel.
J’ai eu le sentiment d’y retrouver ma tribu ! Au pays des druides, nous parlions le langage de la chamane, du féminin sacré éveillé en chacun, et lorsque nous abordions les dimensions subtiles c’était avec simplicité, comme si les réalités dites parallèles étaient devenues normales. Tous les thèmes traités par Laurence dans son livre « J’ai fait trois fois le tour de la Terre », ainsi que dans celui qui sortira à l’automne, « Le Coming out spirituel » étaient des évidences, des données acquises. Chacun bien sûr avait sa compréhension propre, son axe de recherche, son chemin. Mais, pour tous, il était naturel de concevoir l’existence de plans de réalité bien au-delà des limites admises par notre culture cartésienne occidentale.
Le créateur de mandala explique qu’il sort de son corps et revient chaque fois avec une inspiration pour ses puissantes créations. Une médium lit le message des anges dans des cartes si anciennes qu’elles en sont toutes effacées. Une énergéticienne de passage s’arrête pour faire un soin au coin d’une allée à chaque personne qu’elle sent en souffrance. Le stand des pierres ne désemplit pas de clients en quête de minéraux guérisseurs, de même que le stand des élixirs alchimiques aux vertus époustouflantes où l’on peut tester l’effet des petites fioles miraculeuses. Pas de commerciaux mercantiles et poussifs, mais des créateurs inspirés et passionnés, des scientifiques et chercheurs nouvelle génération, des thérapeutes connectés aux mondes subtils, généreux et attentifs.
Et puis il y a eu Esther, dont le cas est l’illustration du changement en cours dans notre monde.
Cette jeune femme présente à la conférence de Laurence y a témoigné de phénomènes paranormaux perturbants et même effrayants auxquels elle était soumise depuis toute petite. Elle se sentait anormale et seule, craignant de passer pour folle. Nous l’avons rassurée, lui disant que tout cela se travaillait, qu’elle ne devait pas avoir peur et qu’elle trouverait sûrement sur le salon un thérapeute susceptible de l’accompagner. Elle était sceptique, recroquevillée comme un petit animal apeuré et englué dans sa souffrance depuis de nombreuses années.
Lorsque nous l’avons revue vingt-quatre heures plus tard, elle rayonnait. Elle avait parlé avec différents exposants, spécialistes dans leurs disciplines respectives, et elle avait été comprise par toutes ces personnes… Elle n’était pas folle et elle commençait d’entrevoir une issue à ces phénomènes désagréables qui la parasitaient.
C’est cela, le salon des énergies subtiles de Gourin : le surnaturel devenu naturel.
Cette réalité « élargie » dont nous parlons souvent Laurence et moi y est devenue réalité tout court. Et au cœur de cette réalité, de l’amour, beaucoup d’amour. Notre futur, à portée de main…
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​J’ai fait trois fois le tour de la Terre. 
Réveiller les feux sacrés de la connaissance.

700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après…
Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016
28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages
​En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com

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Découvrez le portrait d'elisabeth kubler ross

5/4/2017

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Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel,  les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement.
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« Nous sommes aux portes de la mort. Et s’il ne devait ici n’y en avoir qu’une seule, ce serait elle. Elle est passionnante, attentive, réalise, humaine, touchante, vivante […]. Elle est pionnière dans l’exploration de la connaissance de nous-mêmes et de la vie. Elle, c’est Elisabeth Kübler-Ross. Elle a franchi elle-même la porte de la mort en 2004, à l’âge de 78 ans. » 

Elisabeth Kübler-Ross est unanimement reconnue comme une femme des plus influentes du 20ème siècle. Difficile de rester indifférent(e) face à cette femme si spéciale… Laurence Baranski, dans le 1er voyage de son livre, nous parle de cette étonnante femme. 
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Elisabeth est l’aînée de triplées nées le 8 juillet 1926 à Zurich. Son intérêt pour les questions inhérentes à la mort débute dès son plus jeune âge lorsqu’elle rend visite à l’un de ses voisins, gravement blessé après qu’il ait chuté d’un arbre. Elle est alors la seule à adopter une attitude naturelle face à ce monsieur, de sorte à ce qu’il lui confie ses peurs.

À la fin des années 30, Elisabeth souhaite devenir médecin et travaille dans la clinique du docteur Karl Zehnder. C’est l’époque où les premiers réfugiés juifs arrivent en Suisse, et son rôle est de prendre en charge les besoins de nourriture et de vêtements.

En  1945, avec les Volontaires pour la paix, elle se rend en France puis en Pologne en 1947, au milieu d'une épidémie de typhoïde. Au camp de concentration nazi de Majdanek, elle découvre les papillons noirs dessinés sur les murs par les enfants juifs avant de mourir.  Symbole de transformation, elle devient persuadée que ces enfants, avant de disparaître dans les chambres à gaz, pensaient qu’ils survivraient à cette horreur en accédant à un monde meilleur. Le papillon deviendra alors son emblème. Plus tard, elle fera souvent le parallèle entre les mourants et la chrysalide dont sort libéré le papillon. C’est après cette visite qu’elle décide de travailler avec les mourants. 


Elle obtint son bac en 1951, puis, reçue à l'Université de Zurich elle fût diplômée en 1957, et se maria ensuite avec Emanuel Ross, un jeune interne américain. Elle parti vivre aux États-Unis avec lui. En 1963 elle obtint son titre de psychiatre
à l'université du Colorado.

« Médecin psychiatre, c’est sa carrière qui l’a confrontée de près à la mort. Dès ses débuts, elle s’étonne que le corps médical puisse considérer la mort comme un échec et préfère l’ignorer plutôt que d’essayer de la comprendre. »

Un jour, son chef de service ayant un imprévu, lui demande alors d’animer une conférence auprès des étudiants en médecine. Elle est libre de choisir le sujet et décide de parler de la mort, dans l’espérance que ces étudiants développent plus tard une attitude différente de celle de leurs ainés.  Elle décide de faire intervenir une adolescente en phase terminale qu’elle avait rencontrée peu de temps auparavant, celle-ci va relater elle-même, au cours de la conférence, son vécu de la maladie et son attente de la mort. Cet évènement improvisé fait le tour de la ville et s’étend au-delà. Bientôt, Elisabeth est désignée comme la spécialiste des malades en phase terminale.


« Elisabeth s’engagea très tôt sur des chemins alternatifs à ceux récemment ouverts par des psychologues ou psychanalystes reconnus […] Qu’est-ce que les chemins ouverts par Elisabeth avaient d’alternatifs ? Une chose toute simple, mais que l’on avait semble-t-il oubliée, elle en fit le constat : le coeur. Et dans le coeur, l’amour. C’est en prenant appui sur lui qu’Elisabeth a développé son approche auprès des mourants… »

Selon Elisabeth, après un diagnostic de maladie terminale, on observe « cinq phases du deuil » : le déni ; la colère ; le marchandage  ; la dépression et l’acceptation. Ces étapes ne sont pas nécessairement dans l'ordre indiqué et ne sont pas non plus vécues par tous les patients, mais chaque victime en vivra toujours au moins deux.

«  Elisabeth développa tout au long de sa vie des modes d’accompagnement visant à permettre aux patients d’atteindre la cinquième phase, la phase ultime de vie, celle qui nous conduit à quitter les rives terrestres, le plus sereinement possible […] La mort apparaît comme un passage et une initiation, tant pour le mourant que pour les accompagnants. Un rite de passage aujourd’hui quasi inexistant dans nos sociétés modernes où la mort est vite ‘expédiée’. »

Dans les années 80, Elisabeth s’installe en Californie, afin d’y établir un centre de soin appelé Shanti Nilaya (qui signifie « havre de paix final »), où elle organise des séminaires, dont le but est, selon elle, de « traverser la couche du déni professionnel qui empêche les patients d'exprimer leurs inquiétudes les plus intimes. » Elle se consacre ensuite aux enfants qui vont mourir et aux victimes du SIDA. 

«  Les patients d’Elisabeth lui parleront de leurs expériences de télépathie, de visions, de clairvoyance, de sensations de sortie hors du corps. Autant d’indices pouvant laisser supposer qu’il se produit quelque chose au moment de la mort physique et peut-être après la mort du corps physique […] Une de ces expériences influença profondément sa vie, ses recherches et son accompagnement : une nuit, se sentant propulsée hors d’elle-même, elle retrouva toutes les personnes mortes qu’elle avait accompagnées.  Elle ressentit leur souffrance, puis elle traversa leurs sensations pour contacter la lumière et la compassion. Ce fut une expérience incroyablement puissante et ineffable selon elle. »

Elle prendra par la suite sa retraite en 1996 et, après plusieurs accidents vasculaires cérébraux qui vont l’handicaper, décédera à 78 ans le 24 août 2004, à Scottsdale, en Arizona, en compagnie de son fils Kenneth et de sa fille Barbara.

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​J’ai fait trois fois le tour de la Terre. 
Réveiller les feux sacrés de la connaissance.

700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après…
Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016
28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages
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DÉCOUVREZ LE PORTRAIT D'ALEXANDRA DAVID-NÉEL

4/4/2017

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Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel,  les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement.
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Laurence Baranski, dans le 1er voyage de son livre, nous parle de la stupéfiante femme que fut Alexandra David-Néel. Découvrez-en plus à travers ce portrait : 

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Louise Eugénie Alexandrine Marie David, plus connue sous le nom d'Alexandra David-Néel est née le 24 octobre 1868 à Saint-Mandé. C’est une orientaliste, tibétologue, chanteuse d'opéra, journaliste, écrivaine et exploratrice, franc-maçonne et bouddhiste de nationalités française et belge.

Une passionnée de voyage qui voulait partir à la découverte du monde : 

L’envie de découvrir le monde fut, dès son plus jeune âge, sans cesse présente dans son esprit, et Alexandra pratiqua l'art de la fugue jusqu'à sa majorité. Dès son adolescence, elle s’intéresse et étudie les philosophies orientales et se familiarise avec l’anglais. 

 

Dès sa majorité, elle milite pour la condition féminine et publie à cette époque des écrits virulents. Elle entreprend également en parallèle des études, en auditeur libre et  gagne dans un premier temps sa vie dans une carrière artistique qui dura près de 8 ans. Malgré cela, Alexandra ne perd pas de vue son objectif principal qui est de voyager. Elle stoppe ainsi sa carrière artistique et part à Tunis en 1900.  C’est là qu’elle rencontre Philippe Néel, ingénieur des chemins de fer installé en France avec qui elle se mariera en 1904 à l’âge de 36 ans. 

Elle se rendit alors très vite compte qu’elle n’était pas faite pour tenir le rôle de femme au foyer et cette union la conduira au bord de la dépression au bout de quelques temps seulement après son mariage. Son mari, conscient de la passion de sa femme pour le voyage, accepte alors de la laisser partir pour un voyage d’études de 18 mois en Asie.  Alexandra ne reviendra en réalité que 14 ans plus tard en 1925…


« Toute petite déjà, elle ne tenant pas en place, dit-on. Elle voulait découvrir le monde. Elle voulait apprendre. La vie, son sens, les humains. C’est en partant à l’exploration des cultures indiennes et tibétaines qu’elle trouva une voie propre à satisfaire deux des passions qui l’animaient : la connaissance intellectuelle et la connaissance sensible. »

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Elle voyage alors au Népal, au Sikkim, un petit pays himalayen au sud du Tibet où elle rencontre Sidkéong Tulku, souverain de ce petit état. Il met a sa disposition un jeune moine de 14 ans, Aphur Yongden, qui deviendra par la suite son fils adoptif.  Accompagnée de celui-ci, elle part à la découverte du Japon, de la Corée ainsi que de la Chine, et de la Mongolie. Après une audience avec le 13e Dalaï-lama qui lui conseilla d’apprendre le tibétain, elle se rendra à plusieurs reprises au Tibet, même si cela n’était pas gagné d’avance.

« Déguisée en mendiante, elle parvint à gagner le Tibet et entra dans Lhassa, une capitale où les conditions de vie étaient alors très difficiles. ».

C’était en 1924, et ce fût alors la première femme d'origine européenne à séjourner dans cette capitale. Cet exploit fit écho dans les journaux et contribua fortement à la renommée d’Alexandra, en plus de ses qualités personnelles et de son érudition.  

Amoureuse de ce pays, elle y séjournera  au total une douzaine d’années.

À son retour en France, elle s’installe avec son fils adoptif à Digne dans les Alpes de Haute Provence. À 69ans, après 9 années de travail, Alexandra, qui n'a jamais cessé d'écrire ou de faire des conférences en Europe,  repart pour la Chine au début 1937 avec son fils adoptif.  Elle rentre en France en 1946, et passera ensuite le reste de ses jours à publier de nombreux ouvrages. Elle décède en 1973 alors qu’elle avait 105 ans.  Cette exploratrice, qui avait noué des liens avec le14e dalaï-lama au cours de ses voyages, reçut sa visite à deux reprises en France dans sa maison.


«Deux visites en hommage à celle qui avait le mieux fait connaître le Tibet aux Occidentaux. »

Pour en savoir plus sur cette surprenante femme, nous vous donnons rendez-vous ici.

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​J’ai fait trois fois le tour de la Terre. 
Réveiller les feux sacrés de la connaissance.

700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après…
Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016
28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages
​En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com
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    Laurence Baranski est l'auteure du livre "J'ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance".
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    Nathalie Krompholtz est co-fondatrice de Lahnat éditions ​et thérapeute-relaxologue. 

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    Fanny Noyelle  est consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement.  

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