![]() Les extraits suivants sont issus du troisième voyage « À l’exploration des civilisations parallèles » de l’ouvrage « J’ai fait trois fois le tour de la terre » dont Laurence Baranski est l’auteur. Ce portrait fait suite à celui de Raymond Moody dont vous pouvez découvrir sur notre site. « Kenneth Ring est né en 1935. Il est américain et il est lui aussi pionnier aux portes de la mort. Il parle d’ailleurs plus volontiers de ‘‘la frontière de la vie’’. » Professeur émérite de psychologie à l’université du Connecticut, il s’intéresse aux expériences de mort imminente et les travaux réalisés quelques années plus tôt par Raymond Moody l’inspirent beaucoup. « À partir de 1977, Kenneth Ring a concentré dans un premier temps ses recherches auprès de personnes ayant été à l’agonie, c’est-à-dire des personnes ayant connu une Expérience de mort imminente (EMI), qu’elles aient vécu ou non une phase durant laquelle elles étaient cliniquement mortes. Son but était d’apprendre ce que ressentent les personnes confrontées à la mort. » Dans les années 80, il fonde et édite le ‘‘Journal of Near-Death Studies’’, et cofonde l’International Association for Near-Death Studies, l’IANDS, avec le souhait que ‘‘au delà des études réalisées, la communauté scientifique internationale s’empare de l’étude de ce phénomène observé’’. L’IANDS est aujourd’hui un réseau international très vivant d’associations juridiquement indépendantes mais dédiées à la même recherche. Kenneth Ring est également l’auteur de différents ouvrages sur les EMI tels que : « En route vers Oméga » ou « Lessons from the Light » co-écrit avec Evelyn Elsaesser-Valarino. Il est considéré aujourd’hui comme l’un des pionniers dans la recherche sur ce sujet et ses travaux sont décrits comme étant dans le prolongement de ceux de Raymond Moody. Ses conclusions autour des EMI sont d’ailleurs les mêmes que Raymond Moody : un état de plénitude, une sortie hors du corps, un tunnel, une lumière, etc. « Une sorte de voyage d’où l’on peut revenir totalement transformé, avec un regard souvent radicalement nouveau sur la vie et sur son sens, parfois aussi avec des connaissances nouvelles et pourtant jamais apprises de son vivant. » Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement. --------------------
J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com
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![]() Les extraits suivants sont issus du troisième voyage « À l’exploration des civilisations parallèles » de l’ouvrage « J’ai fait trois fois le tour de la terre » dont Laurence Baranski est l’auteur. Ce portrait fait suite à celui d’Elisabeth Kubler-Ross dont vous pouvez découvrir le portrait ici. « Elisabeth Kubler-Ross se concentra sa vie durant sur le moment de passage vers la mort et sur l’accompagnement des vivants, plus que sur les signes d’une vie après la mort. La question de la possibilité d’une vie après la mort terrestre n’était pas son sujet premier. En revanche, bravant l’hostilité et les critiques du corps médical, elle préfacera le livre de Raymond Moody qui, lui, concentrait ses recherches sur les NDF, les Near Death Experience, c’est-à-dire les expériences proches de la mort. » Raymond Moody, docteur en philosophie et médecin psychiatre, né le 30 juin 1944 aux États-Unis, a fortement interpellé ses contemporains occidentaux sur ce mystère qu’est la mort. Une question l'a ainsi préoccupé durant toute son existence : y a-t-il une vie dans l'au-delà ? « Dans les années 1970, alors qu’il était enseignant en philosophie, ses étudiants lui demandèrent si les philosophes antiques, comme Socrate et Platon, croyaient en une vie après la mort. En complément de cette question, ils lui racontèrent des histoires de visions, de voix semblant venues de l’au-delà, de lumière faite d’amour, de rencontres avec d’autres êtres… Ces visions et ces perceptions étaient survenues dans des états de mort clinique. » D’un naturel curieux, Raymond Moody eut envie d’en savoir plus et commença à regrouper tout les écrits et récits sur sur le thème des visions en état de mort clinique. Suite à de nombreuses recherches, il lui fut impossible de tirer des conclusions sur ce sujet. Il s’interroge cependant la question suivante : « Qu’est-ce que la conscience ? ». C’est ainsi qu’il décide de se former à la psychiatrie, plus adaptée que la philosophie selon lui, pour répondre à la question qu’il se posait. Raymond Moody recueille des témoignages et participe à des expériences sous hypnose pour découvrir la possibilité de vies antérieures et de réincarnation avant de s'intéresser au dialogue entre les vivants et les morts. Il créé également un centre de recherche : le Théâtre de l’Esprit, où il accueille des candidats se questionnant sur les mêmes sujets que lui. Par la suite, il nommera le phénomène des visions en état de mort clinique : les « Near Death Experience ». « Raymond Moody mettra en évidence que les NDE se caractérisent par une série d’étapes dont les intensités peuvent varier, mais qui se retrouvent néanmoins de manière récurrente : la personne mourante éprouve un amour inconditionnel ; elle s’entend déclarée ‘’morte’’ alors qu’elle-même se sent pleinement en vie ; une sensation de paix et de calme l’envahit ; elle se sent sortir de son corps, sa vue s’élargit et tous ses sens sont activés comme jamais ils ne l’ont été de son vivant ; elle se sent aspirée dans un tunnel où se trouvent d’autres êtres, souvent des parents ou des amis décédés ; au bout du tunnel, la personne déclarée cliniquement morte aperçoit une lumière claire, ineffable, plus puissante que ce que l’esprit humain peut concevoir, une lumière que l’on peut regarder sans que sa vue n’en soit abimée ; la vie de la personne cliniquement morte défile alors devant ses yeux, sans aucun jugement ; puis ‘’quelque chose’’ (une voix, une impression…) qui vient de la personne elle-même ou de l’extérieur, lui fait comprendre qu’il n’est pas l’heure pour elle de quitter la Terre ; la personne réintègre alors son corps physique […]. À ce moment là, la personne renaît, « redevient » cliniquement vivante. » C’est à travers son ouvrage « La vie d’après », en 1975 que Raymond Moody fera partager ses observations. Créant une onde de choc à l’époque, il affirme qu’il ne veut rien prouver à travers ce livre, mais seulement « présenter des observations qui se produisent partout dans le monde et inviter les savants du monde entier à s’emparer de ce sujet et de ces phénomènes ». Il a publié par la suite d’autres ouvrages sur les expériences de mort imminente tels que : « Lumières nouvelles sur la vie après la vie » en 1977 et « La Lumière de l’au-delà » en 1988. Cet article est proposé par Fanny Noyelle, consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement. --------------------
J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com Le crop circle de Crésancy-en-Sancerre, cette majestueuse forme géométrique apparue dans un champ d’orge dans la nuit de vendredi 2 à samedi 3 juin 2017, est abrité au fond d’une légère dépression du paysage qui le rend visible de la route longeant le haut du coteau. En ayant appris l’existence, j’y suis allée avec une amie, Muriel : un crop circle aussi près de notre région, c’est trop beau et trop rare, cela ne se loupe pas !
La figure est formée d’un grand cercle central, dans lequel les épis sont couchés de façon concentrique, entouré de quatre autres cercles plus petits du même type et reliés entre eux par des sortes d'allées, circulaires elles aussi, que l’on peut emprunter pour passer de l’un à l’autre. Au moment où nous y étions, un cousin du propriétaire du champ était en train de mesurer le cercle central afin de déterminer les pertes de récolte. Je ne connais pas les dimensions totales de cet « agroglyphe », mais ce cercle faisait à lui seul environ soixante mètres de diamètre, ce qui donne une idée de la taille de l’œuvre. Nous avons pu constater à quel point ce phénomène était énigmatique. Les épis d’orge couchés au sol n’étaient ni abîmés ni écrasés comme cela aurait été le cas si l’on avait voulu les aplatir avec un rouleau compresseur. Ils étaient curieusement entremêlés, comme tressés. Il n’y avait aucune trace de piquet central autour duquel on aurait pu faire tourner un engin quelconque pour dessiner les cercles et toutes les formes et proportions étaient absolument parfaites. L’accès au crop circle se faisait à pied par les longues et étroites empreintes parallèles laissées par le tracteur de l’agriculteur et il n’y avait pas non plus de traces d’engin que l’on aurait fait entrer dans ce champ aux épis d’orge déjà bien hauts. Or les dimensions et la perfection de la forme dessinée dans les épis ne permettent pas de penser que des farceurs ou artistes aient pu réaliser cela en une seule nuit sans être vus de quiconque. Etre confrontés au mystère… Par une belle après-midi de juin, visiter le crop circle était une promenade toute trouvée pour nombre de curieux. Je regrettais de ne pas pouvoir bénéficier de plus de calme pour mieux me connecter à l’énergie du lieu, mais c’était un régal que d’y observer ces promeneurs et me saisir des bribes de leurs conversations ! Je me disais que si j’étais extra-terrestre et que j’avais créé cette forme dans un champ d’orge pour faire évoluer la conscience de l’humanité, je serais satisfaite du résultat… Quel ravissement de voir et entendre tous ces humains s’interroger, faire des hypothèses parfois loufoques (j’ai entendu parler de ventilateur pour coucher les épis!), ou tester le lieu avec un pendule, ou méditer… Toute une gamme de réponses à la stimulation « crop circle » ! Déjà, le pari était gagné : les habitudes mentales étaient ébranlées pour certains, tandis que d’autres montaient en fréquence, tout à la joie d’être confrontés à ce phénomène extraordinaire, signe d’une réalité qui nous dépasse. Vus de loin, les visiteurs qui se succédaient à raison d’une trentaine en permanence sur le site, évoluaient d’un cercle à l’autre, paisibles et étonnés, se rassemblaient, puis se dispersaient, circulant lentement. Certains s’allongeaient contre l’épais tapis d’orge, d’autres prenaient des mesures et d’autres encore faisaient des acrobaties… Beaucoup de légèreté…! Il m’est apparu clairement que tous prenaient un bain de joie et de présence ! Certainement, tous n’en avait pas conscience, mais ils avaient l’air de baigner à leur insu dans une énergie très légère et bienfaisante et l’aura de cet événement non préparé, surgi de nulle part, continue de s’étendre un peu partout sur la planète, relayée par la magie des réseaux sociaux et d’internet. Pour ce qui est de Muriel et moi, nous avons parcouru la forme, attentives à nos sensations, marchant toujours dans le « sens du courant », c’est-à-dire le sens dans lequel les épis étaient couchés. Nous nous sommes en effet vite rendues compte qu’aller à rebrousse-poil était inconfortable ! C’est ainsi que nous avons constaté l’étonnante légèreté du grand cercle central. Se tenir en son centre donnait l’impression que tous les cellules de notre corps étaient régénérées, boostées avec douceur et que notre être entier s’apaisait. Les quatre cercles plus petits entourant le grand cercle n’avaient pas la même vibration. Leur énergie était plus dense, plus « pratique ». Comme s’ils « venaient en support au grand cercle central », comme le dit Muriel. Comme s’ils étaient les turbines qui l’alimentaient. Bien sûr, ces perceptions et leur interprétation sont toutes personnelles. Mais on dira ce qu’on voudra, le phénomène crop circle reste impossible à rationnaliser. Un crop circle pousse tous ceux qui s’en approchent vers d’autres dimensions, d’autres perceptions, une autre connaissance. Cet article est proposé par Nathalie Krompholtz, co-fondatrice de Lahnat éditions, et thérapeute spécialisée en thérapie transpersonnelle et en techniques d'expansion de conscience. -------------------- J’ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance. 700 pages d'informations scientifiques et ésotériques entrecroisées. Un livre qui relie les savoirs. Une contribution à la création de ponts entre la science et la spiritualité pour faire, ensemble, le pas d’après… Auteure : Laurence Baranski - Editeur : Lahnat éditions - Parution : juin 2016 28,50 euros TTC (+ frais de port) - ISBN : 978-2-9556-4140-8 - 742 pages En savoir plus, voir la vidéo, commander le livre : www.troisfoisletourdelaterre.com |
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Cliquer ici pour modifier. Laurence Baranski est l'auteure du livre "J'ai fait trois fois le tour de la Terre. Réveiller les feux sacrés de la connaissance".
![]() Nathalie Krompholtz est co-fondatrice de Lahnat éditions et thérapeute-relaxologue.
![]() Fanny Noyelle est consultante en communication pour les professionnels du développement personnel, les personnes qui font bouger le monde, qui font avancer la manière de voir les autres et notre environnement.
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